Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 15:41

La lumière est aveuglante.

Le soleil semble peser sur chaque chose qu'il touche.

La chaleur s'echappe de l'asphalte en volute translucide.

Je me gare derrière une berline venant chercher le même service que moi dans cette station service.

J'ai un pneu vraiment sous gonflé et redoute qu il ne soit hors d'usage sans une réparation.

La flambée extérieure est peu encourageante pour mettre une roue de secours.

Plus curieux qu'impatient, je sors de mon véhicule et l'aperçois, accroupie devant son pneu avant droit.

La cinquantaine, très coquette, les lunettes de soleil sur le bout du nez, et semblant très embarrassée en essayant, précieusement, d enlever le bouchon de la valve.

Je me propose de l'aider et son sourire satisfait tout en me regardant, m'enveloppa d'un nuage.

Nous nous présentons alors qu'elle me tend le tuyau.

Une conversation banale s'installe pendant que je contrôle ses pneumatiques.

Changeant du tout au tout la conversation, je la complimente pour sa gracieuse personne, ce qui semble la toucher.

Je lui propose de nous revoir pour prendre un verre un peu plus tard en début de soirée, ce qu'elle refuse.

Insistant, je les lui griffonne mes coordonnées sur un bout de papier et le lui tend avec le sourire, la moue aux lèvres.

Elle l'accepte en un soupir ambiguë, accentué par son sourire léger.

Je la regarde s'en aller, encore tout émoustillé et séduit par cette femme magnifique, intouchable, sans nul doute...

 

En réunion ce matin, mon téléphone, sur vibreur, ce mis à dodeliner sur la table, émettant un bruit sec et tenace.

Je l'attrape par reflex, mettant fin à sa danse, et ouvre le message qu'il contient.

" Je vous invite à déjeuner. RDV 12H30 rond point de la Traversée. Je veux vous remercier pour votre aide dans la station."

Je suis d'abord étonné, puis me souvient de mon altruisme ce jour la.

Cela faisait quand même presque un mois et demi.

Je répond par la positive à ce texto, ponctuant par un smiley souriant.

Dans la minute, j'en reçois un autre d'un double smiley identique au mien.

J'arrive avec dix minutes d'avance, mais la berline est la.

Je me gare derrière et descend, m'approchant de sa portière passager.

La vitre descend et une bouffée d'air frais au parfum délicat me submerge.

Son sourire est pétillant.

Nous nous saluons et elle m'invite à la suivre en voiture.

Au bout de quatre kilomètres, nous nous engageons sur la droite, sur un chemin goudronné, menant à la rivière.

En ce lundi, lendemain de jour férié malheureusement tombé un dimanche, les paillotes étaient vide.

Elle choisit la plus en contrebas et je lui empreinte le pas.

Toujours aussi élégante, mais d'un tout autre style aujourd'hui.

Son short bleu pastel l'enveloppe comme une deuxième peau.

Ses baskets assorties, surmontées de chaussette blanche, se fraient un chemin habilement sur les cailloux du sentier.

Ses cheveux sont regroupés en une queue de cheval, dont le boue tutoie ses omoplates.

Son T-shirt  blanc skiny laisse entrevoir un ruban de bronzage autour de sa taille.

Je ne perd pas une miette de sa silhouette devant moi.

Je pose le panier, qu'elle m'avait demandé de prendre dans son coffre, sur la table et la regarde s'étirer et souffler de contentement en regardant la rivière s'écouler.

Elle m'annonce les bonnes choses qu'elle avait préparé et nous installons nappe et autres.

Nous déjeunons en discutant, prenant le temps de savourer.

Elle dit venir souvent ici se ressourcer.

C'est la première fois avec quelqu'un.

Même pas ses deux meilleurs copines.

Elle m'invite à ranger le panier et me propose un bassin qu'elle connait, un peu plus haut.

Mon planning a été bouclé à la réception de son message, donc j'accepte.

Me prenant le panier vide des mains, elle le cache dans les fourrés et s'engage sur une piste à peine visible.

Elle se tourne, se baisse, s'accroupit pour me montrer une fleur, un champignon, un insecte.

Mes yeux ne peuvent s'arrêter à ces contemplations, et ils vagabondent sur ses courbes, ses monts et ses vallées. 

Son short, collé à elle, me laisse découvrir le sillon de son fruit.

Sa main prend la mienne et la pose sur son sexe.

Il est chaud dans le creux de ma main.

Mon doigt parcours délicatement le canal de ses lèvres, mon pouce posé sur son clitoris.

Sa tête se pose sur mon épaule et ses doigts écartent le tissus.

Je la sens vraiment mouillée quand mon doigt se pose sur ses chairs.

Je titille son puit et m'y enfonce d'un doigt, delicatement, mais entièrement.

Son visage se blottit dans le creux de mon cou.

Je vais et vient en elle, mon autre main caressant son dos, ses fesses.

Sa main accompagne la mienne, entrant en elle et ressortant pour les poser sur mes lèvres qui s'entrouvrent.

Elle se cambre et jouit contre moi, m'inondant la main.

Elle reste quelques minutes contre moi pendant que je la caresse puis s'écarte doucement.

Plongeant entre ses seins, elle en extirpe une bout de dentelle blanc dont elle s'essuie le sexe avant de se recouvrir du short.

Elle me tend l'étoffe en me disant que l'on ne verrait pas la rivière aujourd'hui mais qu'elle m'inviterait à nouveau pour un 

pique nique encore plus savoureux.

J'attend avec patience son sms............

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par recit-erotic971
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Dimanche 10 juin 7 10 /06 /Juin 16:02


Le téléphone me fit sursauter, concentré que j'étais sur un dossier.

De sa voix calme mais ferme, elle m'intime l'ordre de me rendre a sa porte à 19H00.

Pas de bonsoir, pas de formalité d'usage .

Point d'interrogation, mais un ordre.

Je savais qu'il ne fallait pas manquer à ses demandes.

J'arrive a l'heure convenue par elle.

La nuit vient de tomber et la petite route de campagne non éclairée  qui mène chez elle me plonge dans un noir d'encre quand j'éteins les phares, garé sur le bas coté près de son portail.

Le portail est entrebâillé, j'avance jusqu'à son escalier et m'agenouille devant, a même le sol, la tête baissée.

J'entends ses pas , que je devine provenant de la salle de bain, se rapprocher, passant du clinquant du carrelage au sec et mate du bois de son deck.

Quand son parfum envahit l'atmosphère, je sais qu'elle est la, debout en haut des ses marches.

Je sursaute, quand la lumière soudaine fait reculer la pénombre.

Je sais qu'elle m'observe. Je sens le regard dédaigneux sur sa chose que je suis.

Ma main se pose sur la première marche quand elle m'ordonne de monter.

Avancant a quatre pattes, comme elle m'en avait fait prendre coutume, je m'agenouille dans le coin qu'elle appelle "la place" .

Un mètre carré pavé de galet sur sa vaste terrasse en deck.

Les minutes sont longues sur ces galets.

La tête toujours baissée, je l'entend passer de pièce en pièce puis le son lour d'un sac sur le bois me fait comprendre que je peux me lever et le porte dans le coffre de ma voiture.

Je me place coté passager pour l'attendre en lui ouvrant la porte, la tête toujours vers le sol.

Quand elle est installé, je m'assied et démarre.

C'est à la sortie du petit chemin de campagne qu'elle me donne la direction à prendre.

Une soixantaine de kilomètres à peu près, dans le sud de l'aile gauche du papillon.

Dès que nous attaquons la nationale, elle prend son téléphone et appel une amie résidant a mis chemin.

Elle raccroche et m'indique le nouvel itinéraire.

Cela fait près d'une heure que je l'ai déposé devant chez son amie quand mon téléphone sonne.

Suivant ses ordres, je m'agenouille dans l'allée éclairées qui mène a l'entrée de la maison.

La porte s'ouvre, et j'entends vaguement des murmures et des rires contenus avant que la porte ne se referme.

Quarante minutes après, mon téléphone résonne et je m'installe du coté passager pour l'attendre.

Elle m'arrête quand je veux démarrer, et me fait baisser la vitre conducteur et allumer le plafonnier.

Les rideaux étaient ouvert et je pus voir deux silhouettes en contre jour.

Sa main se pose sur ma nuque et me tire, m'obligeant a poser le visage a travers sa robe, contre son bas ventre.

Elle décroche son téléphone et je l'entends répondre par des oui et des non, ponctué de rire.

Ses jambes fermées s'écartent un peu et j'en profite pour humer son parfum.

J'entends, oui c'est un bon chien, juste avant qu'elle ne raccroche.

Elle claque du doigt et me lance de démarrer en direction de notre première destination.

Les textos pleuvent dès notre départ, et cela durât pendant tout le trajet.

Elle m'indique la fin du trajet et me fait me garer sur le bas coté dans une petite cote.

Nous sommes cent mètres plus haut que les dernières habitations que nous venons de dépasser.

Elle m'avait fait demi-tour et se retrouvait ainsi coté terre plein.

Quand j'ouvre sa portière , elle m'ordonne de me déshabiller et de m'allonger sur le sol grossier.

Elle prend son téléphone et j'entends toujours ces oui et non entrecoupé de petit rire.

Elle se place au dessus de moi, les pieds sous mes aisselles, et bloquant le téléphone entre son oreille et son épaule, remonte sa robe jusqu'à la taille en la maintenant nouée dans le dos.

C'est quand elle s'accroupie au dessus de mon visage que je m'aperçu quelle ne portait pas de sous vêtement.

La lumière de cette lune idéale me fait apercevoir son frui

t lisse et je me délecte de cette vue qui ne me laisse pas insensible.

Soudain un flot tiède m'inonde le visage.

Mes yeux se ferment et ma bouche s'entrouvre quelques peu.

Je ne peux malgré moi y goutter en frissonnant.

Dans une de nos conversations autorisées, elle m'avait parlé du goût que l'on pouvait faire varier.

Ce soir, c'était sans conteste capuccino.

Se soutenant des deux mains sur mes cuisses, elle s'assied sur mon torse et se vide en un jet puissant s'écrasant sur mon cou.

Se redressant, elle reprend son téléphone d'une main et attrape mon T-shirt dont elle s'essuie le fruit.

Elle libère sa robe, prends son sac dans le coffre et descend la petite cote, me laissant la , par terre, nu et mouillé de son champagne.

Quand je n'entends plus ses pas sur la chaussée, hébété, ma main caresse mon torse humide tandis que l'autre attrape mon sexe dur et sensible.

Je me masturbe avec délices, léchant mes doigts mouillés de sa pluie.

J'explose rapidement, excité par cette situation cocasse de moi nu me branlant dans la rue.

Je me relève au bout d'une minute, et essuie ma semence  dans le tee shirt.

Je me rhabille, m'installe au volant et prend le chemin du retour, torse nu, sa pluie séché sur mon visage et ma poitrine.

La nuit était belle. La lune éclairait de mille feux et les étoiles se comptaient par million, mais cette pluie providentielle m'avait inondée de plaisirs......

 

 

 

 

 

 

 

pisse-pipi-pissing

 

 

 

 

Par recit-erotic971
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Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 14:41

Mon coeur bat la chamade en appuyant sur le bouton de l'ascenseur qu'elle m'a indiqué.

Je m'y glisse le souffle court, et effleure le chiffre 3 de sa commande sensitive.

Ses portes se referment sans bruit.

Les muscles de mes jambes se tendent pour me stabiliser. Ca y est. On décolle.

Il ralentit, s'arrête, et ses portes s'ouvrent sur un couloir tapissé de rouge sang.

Sa couleur préférée me dit elle, s'étend laissé aller à parler d'elle.

Nous échangions depuis déjà 3 mois sur la toile, quand elle daigna m'appeler.

Ce sont ses mots.

Ce jour la, mon téléphone raisonna à 5H00. Il se tut au bout de ses 8 semonces.

Je m'étais couché tard, à converser avec elle justement. Un échange, si on peut appeler ce type de relation comme cela, qui m'avait fait me livrer un peu plus que d'habitude.

Elle avait été particulièrement insidieuse hier soir.

Moi j'avais été envoûté dès nos premiers tchat.

C'est elle qui décidait quand elle souhaitait me contacter.

Le sms arrivait, et je devais répondre dans les 2 mn chrono, en me connectant sur la messagerie.

Le téléphone sonnât à nouveau.

Un numéro privé. Je raccroche aussitôt, et le glisse sous l'oreiller.

Se remettant aussitôt à tinter, je décroche, on ne sait jamais. Un ami en galère, ou la famille, qui sait.

" Tu es encore au lit ! Alors tu en sors et tu te connectes immédiatement." me lançe t elle d'une voix ferme, puis raccroche.

La surprise me remettant immédiatement d'aplomb, je rallume mon ordinateur, et mes doigts pianotent les codes d'accès nécessaires.

Je la vois connecté, mais je ne suis pas autorisé à lui écrire.

Il se passa bien 10 mn avant qu'elle ne me contacte.

- Je t'appellerai à 6H00 précise en ouvrant ma porte. Voici l'adresse. -

Elle était à 15 mn, et sa région m'est familière.

Etourdit de ma nuit, mais toujours sous l'effet du tchat de la veille, je saute dans la douche.

Sur l'adresse, que j'ai recopié, est écrit, à gauche porte droite.

Je regarde ma montre. Il est 5H55. Je suis à l'heure.

La porte est blanche, immaculée, ornée de son judas.

Je suis devant, mais n'ai pas le droit d'y toucher.

Ces 5 mn me semblèrent interminable.

Le bruit de la clef me fait sursauter, et mon coeur se met à battre fort.

La porte s'ouvre entièrement, et dans cette demi pénombre, je l'aperçois.

" Entre et referme la porte!" me lançe t elle.

Je m'exécute en regardant sa silhouette s'éloigner.

Elle avait été claire dans nos échanges.

Chacune de mes actions devais être précédées de ses ordres.

Donc j'attendais patiemment debout à coté de la porte.

" Approche! "

J'entre dans la pièce ou je l'ai vu disparaître.

Elle est assise, les jambes croisées, toujours éloignée des points chauds lumineux, se créant un halo de mystère.

Elle me stop net en m'ordonnant de me mettre à genoux.

Je le fais automatiquement et avance sur sa demande.

Je tombe nez à nez avec ses escarpins, noirs, luisant, aiguës.

Ne pouvant aller plus loin, je m'arrête.

Je ne peux la toucher, pas sans sa direction.

Ses pieds se posent sur mes mains, sans violence, avec juste ce qu'il faut de pression pour me faire savoir que je suis en dessous d'elle.

La tête basse, je les dévore des yeux.

Elle libère un des ses pieds qu'elle déchausse, et le pose sur mon épaule.

Il est maintenant posé sur mon cou et je peux ressentir sa chaleur.

" Déshabille toi! "

Nue et à genoux, j'étais désappointé. Le coeur battant la chamade et le ventre serré par la peur.

Son pied nu m'effleure la joue et vient se poser sur mes lèvres.

Ma bouche s'entrouvre et son doigt de pied se pose sur ma langue.

" Suce le ! "

Ma bouche se referme, évitant de la mordre et mes lèvres s'enroulent jusqu'à la base.

Mes joues se creusent et ma langue parcours son orteil.

Je salive à son contact en moi .

Mes yeux se ferment, et je savoure de lui prodiguer mes services.

Son pied chaussé libère mon autre main, se pose sur mon torse, et me bloque pour libérer son orteil.

Elle l'essuie sur mon visage et le rechausse.

Elle se lève, se place derrière moi, et pose son coup de pied dans la raie de mes fesses.

Le faisant pivoter, elle presse sur mon sexe, le soupese.

Le contacte de se cuir m'excite terriblement, et ça commence à se voir.

Sen tant mon sexe durcir, elle s'arrête instantanément.

" A plat ventre! "

Je sens ses talons sur mes fesses. Toujours sans violence mais avec juste ce qu'il faut pour comprendre.

Elle s'assoit sur mon dos, me regardant les pieds, retenant sa robe noire pour que je sente son contact.

Je la sens remonter ma colonne vertébrale.

Elle n'avait rien en dessous.

Son sexe lisse glissait sur moi, chaud et humide du plaisir qu'elle avait.

Sa main fouissante entre mes fesses me fit écarter les cuisses.

Suivant mon sillon, ses doigts trouvent ma porte avant que son majeur ne s'y pose, intrusif.

Je détendis mes muscles pour ne lui opposer aucune résistance qu'elle pourrai mal interpréter, mais elle s'arrête.

Elle se relève et se place devant moi, debout.

" Sur le dos! "

Me plaçant à sa guise, elle s'accroupit sur mon visage, engluant de son nectar mon visage recouvert de sa robe.

Elle se caresse les lèvres sur l'arrête de mon nez, accrochant son bouton sur sa pointe.

Je peux sentir son sexe et inspire longuement pour m'en imprégner.

Se posant sur mes lèvres, ma langue s'active.

Poussant un souffle, ses doigts se posent sur son bouton tandis que ma langue se délecte de son fruit.

Sa respiration devient courte et rapide.

Ma langue passe maintenant de ses fesses à son sexe mielleux et ses doigts s'activent de plus vite.

Soudain sa tête se pose sur mon ventre et l'étouffant contre ma peau, pousse un crie de jouissance frottant maintenant sauvagement  son fruit sur mon visage.

Le rythme devient plus lent, moins appuyé.

Ma langue devient plus douce, et parcours son nacre.

Elle se relève lentement, me demande de me rhabiller et me congédie sans un mot.

Je suis fatigué, mais heureux.

Je reprends une bonne douche, et m'en remet à Morphée.namio-harukawa-xxl-face-sitting-L-HojKMC.jpeg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Par recit-erotic971
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Mercredi 25 avril 3 25 /04 /Avr 21:05

ECARPINS-NOIRS.jpgIl pleut des cordes.

Le ciel n'est pas gris, il est noir.

J'ai allumé mes phares.

Ca courre de partout sur les trottoirs.

Précautionneusement je clignote et m'engouffre dans ce parking qui m'enlèverai , à ne pas douter, cette impression d etre mouillé, meme dans la voiture.

Par ce temps, la gallerie marchande est bondée. En tout cas son parking.

Près de dix minutes pour trouver le grall. Il est un peu osé, c'est vrai, et demande quelques contorsions pour s'extirper du véhicule, mais bon, c'est a ce prix...

" Et moi je fais comment ?"

Cette voix féminine, un peu grave, me surpris. Comme un enfant qui vient de faire une bêtise.

Me retournant la tête basse, je suis scotché par des pieds magnifiquement chaussés d'escarpins tres pointues.

Ils etaient noirs, immaculés. Ces pieds étaient d'une élégance folle.

" Monsieur ?? Et moi je fais comment pour acceder a ma voiture ?"

Apres ce qui me semblât une éternité, je répond que je vais manoeuvré et la laissé sortir.

" Et vous pensez que votre manque de civisme sera  effacé par cette simple manoeuvre ? "

" Vous m avez manqué d'égard monsieur. et pour cela vous devrez vous en amendez."

Elle se tenait campée sur ses deux pieds, les jambes un peu écartées, très sur d'elle.

Je réitère mes excuses et veux remonter dans ma voiture quand j entends les déclics d'ouverture de sa voiture et le souffle des pistons de son coffre.

" Chargez mes courses."

Je suis surpris par l'aplomb de cette dame et décide de rentrer dans son jeu sans attendre.

" Oui Madame. Comme vous voudrez."

Les courses bien rangées dans son coffre sous sa haute surveillance, mais sans un mot, elle me fixe du regard et attend l'air agacée.

Je mets bien dix secondes avant de comprendre son "jusque boutisme".

Je referme le coffre doucement et m'en vais déplacer mon véhicule.

Je recule, lui laissant assez d'espace pour sortir. En analysant sa manoeuvre, je vois bien que c'est elle qui c'est garée de façon osée. J'en souris quand je vois sa main me faire signe d'avancer vers sa vitre.

Allons bon. Qu'ai je encore fait.

" Suivez moi." et sa vitre remonte.

Le klaxon d'une voiture que je gène retentis, me sortant de ma surprise.

Je remonte dans mon vehicule, tout chamboulé, et demarre derrière elle.

Elle fait attention a ne pas me perdre. Cela se voit sur sa façon de conduire.

Au bout de cinq minutes, elle clignote, et s'engouffre dans un petit chemin étroit et en terre dont j'ignorai l'existence.

Pourtant j'y passe au moins trois fois par semaine.

Roulant au pas je la suis. Elle s'arrête devant un portail au bout du chemin et me refait signe de la main.

Il pleut moins fort, mais ça reste quand même mouillé.

J'arrive a sa portière.

" Ouvre. "

La tête dans les épaules, je m'exécute, et ouvre en grand les deux battants.

S'arretant à ma hauteur, elle me lance.

" Tu te gares dehors, referme le portail et viens récupérer mes courses."

Chacune de ses phrases étaient un ordre. Elle qui parlait de civisme.

Mais je ne pouvais m'empêcher d'exécuter. Je suis troublé.

Bien que son garage soit couvert, elle se positionna de façon a ce que son coffre soit toujours sous les gouttes.

Voulant le lui signaler, elle me stoppe net.

"Tais toi."

Je deviens rouge.

" Tu crains l'eau? Peur de mouiller tes vetements ? Deshabille toi. "

Ma confusion est totale, mais je devine maintenant son dessein.

Malgré mon désappointement, j'entreprend d'enlever mon tee shirt.

"On n'a pas la journée." lança t elle.

Je suis maladroit en débouclant ma ceinture et manque de me casser la figure, le pantalon sur les chevilles, me rattrapant de justesse.

Son regard n avait pas changer depuis l'instant ou il avait croisé le mien dans ce parking.

Aucune émotion apparente.

Elle etait brune. La pointe de ses cheveux fleurtant parfois avec ses epaules. La frange impeccable recouvrant son front.

Une femme très raffinée. Elégamment vêtue d'une jupe noire lui arrivant sous le genoux, et d'une chemise blanche à manche longue, au col vaporeux. Elle était d'une grande classe.

En boxer devant elle, ma gène était totale, et mon regard ne se détachait pas de ses escarpins.

" Je dois te faire un dessin? Met toi nu."

Tremblant d'émotion je m'exécute.

" Maintenant tu prends les courses. La porte de la cuisine est au fond du garage. Je vais t'ouvrire." dit elle sortant ses clefs et se dirigeant vers sa porte principale.

Profitant qu'elle me tourne le dos, je la regarde pour la première fois de plein pieds.

Sa chemise à epaulettes et ses hanches genereuses  lui marque la taille.

Ses talons claquent sur son carrelages blancs, au rythme de ses pas nonchalant.

Je suis nu, deux sacs à la main, devant la porte extérieur de la cuisine, attendant depuis au moins dix bonnes minutes lorsque j'entend la clef tourner dans la serrure et le déblocage du loquet.

Elle ne me regarde meme pas et, tendant le bras, m'indique ou déposer les paquets.

En trois aller retour, son coffre est vide et je suis la , tète basse, attendant ses ordres auxquels je prenais goût.

Je n'osais plus lever les yeux, ainsi nu devant elle.

" Ouvre les placards et range."

Je sentais son regard sur moi. Pesant, lourd, insistant, sans un mot.

Je m'applique à la tache et suis surpris de n'avoir aucune remontrance.

" Tu commences à t'amender."

Une vague de plaisirs m'envahie.

Je prenais vraiment goût à ce jeu.

Moi qui ait l'habitude d'encadrer , je me retrouvai à servir cette dame, inconnue il n'y a pas une heure.

Maintenant assise à la table de cuisine, elle me lance.

" Viens enlever mes chaussures."

M'avancant vers elle , elle me dit.

"Tu te crois ou. A quatre pattes."

J'avançais maladroitement vers elle, et me redresse, toujours a genoux, entreprenant la boucle de ses escarpins qui me créaient tant d'émotions.

Enlevant délicatement le premier, mes doigts effleuraient sa cheville.

Sa peau était fraîche, douce.

Son pied déchaussé se pose sur ma cuisse en attendant que je termine l'effeuillage de l'autre.

Ils étaient très soignés. Les ongles de ses orteils étaient recouvert d'un vernis incolores, surmontés d'une demie lune d'une blancheur immaculée.

Son deuxième pied vint se poser sur mon autre cuisse.

Cette situation érotique, ne me laissait pas sans émoi, et cela se voyait.

Mes mains, inoccupées cachent maladroitement mon sexe qui change de volume.

Elle en jouait, caressant de ses pieds mes cuisses nues.

Quand ma main s'approcha pour caresser ses admirables pieds, cinglât à mes oreilles.

"N'y pense même pas."

je m'arrête net et toujours aussi confus, baisse la tête.

Son pied gauche remonte sur ma poitrine, et son gros orteil se pose sur mes levres qui s'ouvrent machinalement.

Il prend place dans ma bouche, et j'entreprend de le sucer voracement.

" Maintenant tu peux utiliser tes mains."

Je le prend délicatement, et ma langue s'affaire sur tous ses doigts de pieds.

Je suce, leche cet objet de desirs et de plaisirs.

J'apprecie cette caresse prodiguée. Mes yeux sont clos, mon souffle court.

Me sortant de ma torpeur, son téléphone sonne.

Regardant nonchalamment  le numéro, elle décroche.

" Hello, comment vas tu ? Je peux te rappeller dans deux minutes?"

je savais mon temps écoulés.

Elle se leva, toujours sans un mot.

Reviens avec un bout de papier et un stylo.

"Note ton numéro et va t en."

Surpris,j e m'exécute et sors de la cuisine pour me rhabiller dans le garage.

" Tu n'es pas amendé. Je t'appellerai."

Sans un mot et la tete basse je sors, me r'habille et quitte cette villa, la tete pleines de reves ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par recit-erotic971
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